RAPPEL-Rapport de BMO sur la psychologie des dépenses : Les …

MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 25 sept. 2012) - Selon un rapport publié par BMO aujourd'hui, les achats impulsifs exercent des pressions sur le bilan des ménages canadiens. Le rapport de BMO sur la psychologie des dépenses est le premier d'une série de rapports de BMO qui examineront les comportements des Canadiens en matière de finances personnelles et d'investissement, ainsi que leurs répercussions.

Ce premier rapport, qui portait sur les habitudes de dépenses des Canadiens, a révélé que la majorité (59 pour cent) font des achats impulsifs, que la moitié (52 pour cent) regrettent leurs achats après coup et que 43 pour cent dépensent parfois plus qu'ils ne gagnent en un mois.

Mené par Pollara, le rapport a par ailleurs mis à jour les faits suivants :

  • Il arrive parfois à la majorité des Canadiens de magasiner pour améliorer leur humeur et d'acheter un article dont ils n'ont peut-être pas besoin parce qu'il est en solde (60 pour cent et 55 pour cent respectivement), et à 42 pour cent d'acheter des articles qu'ils n'utiliseront jamais.
  • En moyenne, les Canadiens dépensent 310 $ par mois pour des articles qu'ils veulent sans en avoir besoin et sont d'avis qu'ils pourraient économiser plus des deux tiers de ce montant s'ils faisaient l'effort de limiter leurs dépenses.
  • Les achats impulsifs les plus courants des Canadiens au cours de la dernière année ont été des vêtements (57 pour cent), des repas au restaurant (52 pour cent), des chaussures (39 pour cent), des livres ou des magazines (38 pour cent) et de la musique ou des films (31 pour cent).
  • De plus, un Canadien sur cinq (19 pour cent) ont acheté des biens de consommation technologiques impulsivement au cours de la dernière année.

« Les soucis financiers découlent souvent d'importantes dépenses impulsives ponctuelles, mais les dépenses quotidiennes peuvent s'avérer les plus nuisibles pour les finances à long terme du ménage », a déclaré Lily Capriotti, vice-présidente, BMO Banque de Montréal. « Dans la plupart des cas, les achats impulsifs sont des transactions émotionnelles. Se fixer des paramètres et faire le suivi de ses dépenses quotidiennes peut aider le consommateur à freiner ses comportements susceptibles d'avoir des répercussions négatives sur sa situation financière. »

Mme Capriotti indique que les Canadiens peuvent adopter certaines pratiques pour faire le suivi de leurs achats impulsifs et les contrôler, notamment en épargnant sur une base régulière, en décrétant un moratoire d'une heure sur leurs achats impulsifs ou en utilisant des outils en ligne pour faire le suivi de leurs dépenses quotidiennes et se fixer des limites. Par exemple, BMO offre BudgetSensé BMOMD - un outil de gestion des finances personnelles en ligne dont les clients peuvent se servir pour se fixer des limites de dépenses et des objectifs d'épargne, et en faire le suivi.

« Les chiffres démontrent que les Canadiens reconnaissent qu'ils peuvent économiser des centaines de dollars par mois et des milliers de dollars par année en réduisant leurs dépenses non essentielles », a poursuivi MmeCapriotti. « Le rapport indique cependant qu'une personne sur cinq seulement revoit ses dépenses non essentielles à la fin de chaque mois, ce qui veut dire que certains peuvent ne pas se rendre compte des sommes consacrées à des dépenses superflues. »

Mme Capriotti ajoute qu'un CELI ou un compte d'épargne à intérêt élevé comme le compte d'épargne bonifiée BMO peut aider les Canadiens à maximiser leur épargne.

Selon le Service des études économiques de BMO, la dette des ménages canadiens, exception faite des prêts hypothécaires, a doublé au cours de la dernière décennie et a toujours dépassé le revenu disponible, le ratio de l'endettement par rapport au revenu passant de 42 pour cent au début de 2002 à un sommet record de 53 pour cent au début de cette année.

Les conséquences des achats impulsifs

  • D'après le rapport, un tiers (31 pour cent) des Canadiens ont dû emprunter de l'argent ou contracter un prêt pour régler des dépenses non essentielles, 23 pour cent étant incapables d'acheter quelque chose dont ils avaient besoin parce qu'ils avaient effectué des dépenses superflues.
  • Ces habitudes sont plus répandues chez les plus jeunes Canadiens. Un Canadien sur trois (33 pour cent) de moins de 30 ans a été incapable d'acquérir quelque chose dont il avait besoin parce qu'il avait effectué des dépenses superflues.
  • Même les répondants à haut revenu ont subi les conséquences de leurs dépenses superflues - 19 pour cent des membres d'un ménage cumulant un revenu annuel d'au moins 100 000 $ ont été incapables de s'offrir quelque chose qu'ils voulaient parce qu'ils avaient fait des achats non essentiels.

Données démographiques :

  • En moyenne, les hommes dépensent deux fois plus que les femmes pour des articles superflus (414 $ contre 207 $), et se disent davantage disposés à réduire leurs dépenses (276 $ contre 145 $).
  • Les 5 principaux achats impulsifs des hommes : sorties au restaurant (53 pour cent), vêtements (47 pour cent), livres et magazines (32 pour cent), chaussures (29 pour cent), logiciels et applications (26 pour cent).
  • Les 5 principaux achats impulsifs des femmes : vêtements (66 pour cent), sorties au restaurant (50 pour cent), chaussures (48 pour cent), livres et magazines (44 pour cent), maquillage (36 pour cent).

Dans le cadre de son engagement à simplifier les questions financières, BMO a créé divers outils pour aider les Canadiens à garder la maîtrise de leurs finances personnelles dont Services sur rendez-vous de BMO, BudgetSensé BMO, la Formule futée BMO, la Formule futée BMO pour parents, et la Formule futée BMO pour entreprise.

Pour de plus amples renseignements, visitez www.bmo.com.

Les résultats du sondage cités dans le rapport de BMO sur la psychologie des dépenses sont tirés d'entrevues en ligne menées par Pollara auprès d'un échantillonnage aléatoire de 1 000 Canadiens âgés de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué entre le 31 août et le 5 septembre 2012. Un échantillon probabiliste de la même taille comporterait une marge d'erreur de ± 3,1 pour cent, 19 fois sur 20.

À propos de BMO Groupe financier

Fondé en 1817 sous le nom de Banque de Montréal, BMO Groupe financier est un fournisseur nord-américain de services financiers hautement diversifiés. Fort d'un actif totalisant 542 milliards de dollars et d'un effectif de plus de 46 000 employés au 31 juillet 2012, BMO Groupe financier offre une vaste gamme de produits et de solutions dans les domaines des services bancaires au détail, de la gestion de patrimoine et des services d'investissement.

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