Cueillir les fleurs du bien avec Flavia Mazelin-Salvi – Corse

On prétend en haut lieu se soucier de notre santé sans pour autant sanctionner les excès de la société de consommation : le discours officiel nous invite honteusement à privilégier fruits et légumes frais, en omettant de préciser que ceux-ci sont contaminés par des produits hautement toxiques.

Le mensonge comme les pesticides, figurent à notre menu quotidien. La grande distribution a beau jeu de promouvoir ces poisons alimentaires, il n'y a pas grand monde au balcon pour s'émouvoir de cette imposture. Et le législateur s'y entend à serrer les harnais tout en lâchant la bride.

Une coupable ignorance

Les enjeux sont considérables en termes de santé, il est désormais reconnu qu'une mauvaise alimentation associée à une mauvaise hygiène de vie est à l'origine de nos maux, grands et petits : mal de vivre, stress, obésité, diabète, pathologies cardiaques, cancers, et autres calamités. Les maladies ne sont pas des accidents de la vie, elles sont dans la grande majorité des cas, la conséquence des abus, de la passivité, de la sédentarité, et d'une coupable ignorance.

Censée faire prélavoir le bien et le mieux, la médecine officielle demeure tout aussi honteusement à la botte des industries pharmaceutiques entièrement tournées vers le profit. Que faire, sinon laisser parler le bon sens ?

« Dépourvu de toxicité »

Journaliste à Psychologie Magazine, Flavia Mazelin-Salvi, est retournée sur les pas d'Edward Bach, pionnier de la médecine corps-esprit qui a exercé à Londres dans la première moitié du XXe siècle et consacré une grande partie de son existence à la recherche de remèdes simples et naturels, accessibles à tous.

C'est dans la nature qu'il les a trouvés : « La personnalité du malade est plus déterminante que le physique dans tout traitement dont les patients souffrent parfois tout autant que de la maladie. La guérison durable doit être obtenue par un remède doux, indolore, le plus pur possible et le plus proche possible de l'énergie vitale de la nature et donc dépourvu de toxicité », expliquait-il.

Il propose ainsi non pas une médecine miracle mais « complémentaire » qui passe par les fleurs, mais aussi « l'écoute de soi, des émotions et la relation avec le corps ».

« Attaquer la place forte »

Auteur de plusieurs ouvrages sur le thème de la santé, Flavia Mazelin-Salvi révèle « les vrais pouvoirs des fleurs de Bach » dans un livre qui vient de paraître aux Presses du Châtelet.

Pourquoi et comment les fleurs peuvent-elles agir sur nos émotions ? La journaliste a approfondi et expérimenté les théories du médecin qui a élaboré trente-huit élixirs floraux susceptibles d'apporter des bienfaits, et dans certains cas, la guérison « celle qui attaque la place forte où se cache le fondement même des causes de la souffrance », soulignait le médecin dans l'un de ses nombreux ouvrages.

«Dans la nature, que Bach considère comme la grande pharmacopée du divin où cohabitent le poison et son remède, l'ombre et la lumière, le yin et le yang, l'homme a de quoi se nourrir et se guérir »,affirme Flavia Mazelin-Salvi.

En sept chapitres thématiques, ce guide rassemble des conseils pour identifier ses propres émotions et choisir l'élixir approprié pour un programme de soins personnalisés.

 


Les vrais pouvoirs des fleurs de Bach, aux Presses du Châtelet.

Flavia Mazelin-Salvi est l'auteur de Maman Zen, Vivre Zen à deux, Le petit Zen du travail et, en collaboration avec Erik Pigani, de Bien-Etre Zen au quotidien (même éditeur)

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