Au menu du colloque, un programme riche qui traitera les misères, les frustrations, la détresse mais aussi le devenir d’une jeunesse particulièrement marquée par  des  trajectoires rythmées par les émeutes, le harga, l’immolation, le  suicide…et le désir du changement car une jeunesse qui espère, qui écrit, qui dessine, qui chante, qui avance...existe aussi en Algérie ,avertissent les organisateurs du colloque pour cela lors de cette rencontre scientifique on mettra la lumière sur cette jeunesse quelque peu oubliée.

Dans ce sens là, le message de la SARP est clair « toutes les sciences sociales et humaines doivent être mobilisées pour tenter d’apporter un éclairage à ces différents destins ».

On y abordera : le langage de jeunes, les projets professionnels de jeunes adultes, la créativité des jeunes, les jeunes et mouvement associatif, internet et les réseaux sociaux et jeunesse et printemps arabe.

Les universitaires ,chercheurs et psychanalystes tenteront de répondre à plusieurs questionnements : « Trauma et créativité chez les jeunes tunisiens » par Samir Jebabli et Mohamed Riad Ben Redjeb, Université de Tunis, « Kabylie : Traumatisme intentionnel d’une jeunesse en désespoir d’être »  par Lamia Benamsili, Psychologue clinicienne, « les stades : arène d’expression de la violence, d’incivisme et de manque de citoyenneté » par Messaouda Sadouni-Ghdiri, maître de conférences, Université d’Alger II, membre de la SARP ou encore «Devenir femme, une rencontre entre une mère et une fille », thème abordé à  partir d'une lecture du livre de Boualem Sansal : "Harraga"  par Marie Thérèse SANTINI, Psychiatre, psychanalyste, Association  NOUR, France…