Paris, le jeudi 12 janvier 2012 - Menés auprès de 136 personnes peu
habitués aux jeux vidéos violents, ces travaux ont été conduits par
le laboratoire universitaire de psychologie de l’Université
Pierre-Mendès France à Grenoble, dirigé par Laurent Bègue. Publiés
dans le Journal of Experimental Social Psychology, les
résultats de ces observations démontreraient que les personnes
s’adonnant à ces jeux vidéos violents présentent une « augmentation
de l’irritabilité » et pourraient être plus facilement auteurs «
d’agressions verbales et de petits comportements brutaux
». Le spécialiste évoque également dans les colonnes du Dauphiné
Libéré une « augmentation du niveau moyen d’insensibilité à la
souffrance provoquée par ces jeux ».
M.P.
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