PSYCHO: Sous la menace, le cerveau en appelle à l’affection



Actualité publiée il y a 4h38mn

Cette expérience de l’Université d'Exeter montre que le souvenir d’être aimé permet de réduire la réponse du cerveau à la menace. La recherche, publiée cette semaine dans la revue Social, Cognitive and Affective Neuroscience, suggère que se rappeler qu’on est aimé et protégé atténue la réponse aux menaces et peut permettre un apaisement plus efficace et plus rapide après une situation stressante. Ce processus, protecteur, est particulièrement important pour les personnes plus anxieuses.

 

De précédentes études ont montré que les réponses du cerveau à la douleur sont réduites par des rappels similaires, mais c'est la première fois que le même processus est démontré en situation de menace. Le Dr Anke Karl, professeur de psychologie à l'Université d'Exeter, auteur principal de l'étude, explique qu’un certain nombre de troubles de la santé mentale tels que le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) sont caractérisés par une hypervigilance vis-à-vis de l'information menaçante, assoc...


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