L’être humain, cet animal qui s’ignore…

Il est de bon ton de vouloir expliquer le comportement humain en ciblant des facteurs psychologiques, culturels, éducatifs ou encore professionnels.

Et si tout simplement nous revenions à la base de ce qui fait l’homme : sa nature « animale » ?

Les experts en psychologie, sociologie, sophrologie et autres disciplines feraient bien de compléter leurs connaissances en s’ouvrant à la zoologie (science qui étudie les animaux).

Cela leur permettrait sûrement d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion, et d’éviter quelques erreurs monumentales, grotesques, contre-productives - et quelquefois dramatiques.

Car ces spécialistes, non seulement sont chargés de soigner, de suivre, d’analyser des malades et de sonder nos sociétés, mais en plus ils conditionnent les décisions politiques.

Programmes ou rythmes scolaires, législation, décisions juridiques ou politiques :

à chaque fois, leur avis compte, modèle et finit par conditionner nos sociétés.

Les cercles de réflexion se nourrissent de leurs convictions - très « théoriques » à vrai dire.

Le racisme, le communautarisme, le sexisme, la jalousie, la violence sont des comportements néfastes et intolérants qu’il faut combattre…

Cela n’enlève rien au fait qu’ils sont « naturels » !!!

L’éducation, l’instruction, l’environnement social ou professionnel, le suivi psychologique, les médicaments peuvent certes atténuer les pulsions, les angoisses, le stress, les a priori, mais jamais cela ne les fera disparaître. Jamais.

Il est salutaire d’intégrer cette notion essentielle.

La gestion des flux migratoires, le traitement du « mal être » au travail, le suivi des criminels et/ou leur jugement, la violence des ados, l’éducation des enfants, seraient ainsi des concepts vus et compris très différemment, et traités de façon bien plus efficace !

Alors que le multiculturalisme est un échec, que le sexisme fait de la résistance, que la délinquance des jeunes est exponentielle, et les inégalités toujours plus flagrantes, l’heure est venue de remettre en cause les idées de Freud, Dolto et autres psycho-penseurs.

Mais vous allez peut-être penser que tout cela est très « bête » ?

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