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Mercredi, 21 mars 2012
Comment se porte la santé mentale au Québec? L’Université Bishop’s veut savoir - 21 mars 2012


L'Université Bishop's est l'hôte du 34e Congrès de la Société québécoise pour la recherche en psychologie (SQRP) qui se tiendra du 23 au 25 mars à l'hôtel Delta de Sherbrooke. On y attend plus de 300 chercheurs en psychologie.  

L'évènement principal du congrès sera le symposium d'ouverture sur « l'état de la santé mentale au Québec » le 23 mars à 17 h 45. Le scientifique en chef du Fonds de recherche du Québec, Rémi Quirion, agira à titre de modérateur. Ce symposium intersectoriel réunira des conférenciers issus des milieux gouvernementaux, universitaires, publics et communautaires qui y présenteront divers points de vue.

« Nous voulons regrouper des panélistes qui n'ont pas souvent l'occasion de discuter ensemble de ce sujet tout en donnant une chance de s'exprimer aux personnes qui travaillent directement avec la maladie mentale et la guérison, a dit Claude Charpentier, professeure de psychologie à Bishop's et présidente du Comité organisateur du congrès. Le Québec est-il une « société distincte » pour ce qui est de l'état de la santé mentale de sa population? Sommes-nous proactifs quant à la santé mentale et au bien-être au Québec? Est-ce que la recherche en santé mentale acquiert une valeur pragmatique en se penchant sur les besoins de la population québécoise? Où allons-nous et quels sont les enjeux? Nous espérons répondre à certaines de ces questions et identifier des pistes de recherche intéressantes. »

La santé psychologique et le bien-être constituent un des quatre domaines stratégiques de recherche récemment identifiés par l'Université Bishop's. La directrice de l'Unité de recherche et titulaire d'une chaire de recherche du Canada, Fuschia Sirois, ajoute : « Lorsque la plupart des gens pensent à la santé mentale, ils pensent à une maladie. Nous devons élargir notre perspective et arrêter de définir la santé mentale comme l'absence de psychose ou de dépression. Au même titre, nous devons développer une approche beaucoup plus préventive qui commence par l'examen de nos choix de vie. »

Le symposium sera suivi d'un coquetel de bienvenue pour tous les congressistes.

Source : Benoit-Antoine Bacon, doyen, Arts et Sciences, Université Bishop's

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