Des chercheurs québécois viennent de mettre un terme à une croyance populaire fort répandue : les phases de la lune n’auraient pas d’incidence sur les troubles psychologiques. La chercheuse Geneviève Belleville, professeure à l’école de psychologie de l’Université Laval, ainsi que son équipe ont étudié la relation entre les cycles lunaires et le nombre de patients admis aux urgences pour des problèmes de santé mentale. Les scientifiques n’ont établi aucun lien entre la fréquence de ces problèmes et les quatre phases de la lune.