13,3 % présentaient un niveau élevé de symptômes dépressifs. Des facteurs associés à ces symptômes étaient des troubles du sommeil, des antécédents familiaux de difficultés psychologiques, un faible support social perçu, une moins bonne satisfaction conjugale, des événements stressants dans les 6 mois précédents, un plus grand stress financier et un niveau élevé de symptômes dépressifs chez la future mère.
Des stratégies pour favoriser un meilleur sommeil, gérer le stress et mobiliser un support social pourraient aider à vivre cette transition vers la parentalité, concluent les chercheurs.