Le 02 jan 2013
Et le jour où Facebook est devenu un sujet d’étude psychologique est arrivé. Selon un rapport intitulé, Facebook Therapy : why People Share Self-Relevant Content Online, les individus instables sur le plan émotionnel postent plus fréquemment des messages que les autres et ils expriment aussi davantage leurs émotions. Outre leur besoin de soutien, ces utilisateurs seraient tentés de réguler leurs émotions. « Les individus les moins stables sur le plan émotionnel microbloguent plus fréquemment. Ce partage, combiné avec le soutien potentiel qu’ils peuvent recevoir, les aide à augmenter leur bien-être », explique l’étude. Des conclusions visiblement proches de la vérité, ces internautes avouant s’être inscrits sur Facebook afin d’exprimer leurs émotions.
Comme l’on pouvait s’en douter, ces individus qui cherchent à laisser parler leurs émotions ont des difficultés à la faire dans la vie réelle. Ce qui ne les empêche pas de se montrer majoritairement sous leur vrai jour. Selon Psyblog, des psychologues ont analysé le profil de 236 étudiants. Ils ont d’abord analysé cinq grands traits de leur personnalité réelle : extraversion, amabilité, conscience professionnelle, névrose et ouverture d’esprit. Ensuite, ils ont mesuré leur personnalité idéalisées (sur le réseau social). Après avoir comparé les deux profils, réel et virtuel, les chercheurs ont constaté que la plupart des gens affichaient leur vraie personnalité sur les sites de réseaux sociaux. source.
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